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PROBLÉMATIQUE

Il est un fait que les jeunes constituent l'avenir d'une famille, d'une communauté, d'un peuple, d'une nation ou d'un État. D'ailleurs, nous pensons que tout processus visant à évaluer, de façon juste et efficace, le caractère et le potentiel socio-politico-économique d'un groupement

humain quelconque devrait tenir compte aussi des facteurs suivants:


1) l'encadrement, la préservation, la protection et l'appui psychologique que le groupe en question offre à sa jeunesse;


2) l'investissement des ressources humaines et matérielles que consent la communauté considérée dans l'éducation, la formation et l'instruction de ses jeunes.


Promotion pour les inscriptions aux cours donnés par l'école de formation AKADEMIE X.
École de formation Akademiex

Compte tenu de ce qui précède, il est tout à fait légitime de se questionner sur l'avenir à court terme, à moyen terme et à long terme de notre communauté, quand nous savons que l'encadrement, la protection, la préservation, l'appui psychologique, l'éducation, la formation et l'instruction de nos jeunes sont délaissés à la discrétion des étrangers, des médias, des oncles Tom et des nègres de service modernes occidentalisés dont l'agenda, la vision et la mission vont à l'encontre des aspirations et des intérêts supérieurs de notre Peuple. C'est-à-dire notre libération totale; la protection et le maintien de la souveraineté nationale et de l'indépendance d'Ayiti que nos ancêtres ont conquises par les armes et au péril de leur vie; l'amélioration de la qualité de notre vie et des conditions de notre existence en tant que Noirs; la réclamation et l'obtention des restitutions et des réparations pour l'Holocauste des Noirs ( l'Esclavage des Noirs; celui qui a débuté à la fin du XVe siècle par les Euro-Chrétiens) et la colonisation des Peuples Noirs par les blancistes.


En d'autres mots, toujours dans le même ordre d'idées, serions-nous assez naïfs pour oser espérer que nos jeunes puissent obtenir une éducation appropriée et adaptée à notre réalité en tant que Peuple Kamit (Noir), les descendants des pères et des mères de l'humanité et de la civilisation, dans un système qui sait faire preuve d'un racisme antinoir, anti-africain et anti-ayisyen endémique; et dont les fondements et la source d'inspiration même est l'idéologie de la suprématie blanciste?


En fait, cette idéologie dominante corrompt les esprits et les consciences de l'ensemble de la famille humaine. Ainsi, suivant la couleur de leur peau ou de leur origine ethnique certains sont éduqués de façon à se sentir inférieurs et à se comporter en tant que tel à l'égard de leurs oppresseurs; alors que les derniers ont été formés d'une certaine manière qu'ils éprouvent un sentiment de supériorité, consciemment ou inconsciemment, tout en adoptant un comportement correspondant à leur état d'esprit et de conscience dans leurs relations avec les premiers.



Naturellement, nous n'avons nul besoin d'études savantes ou de données statistiques élaborées pour constater que ce système ne saurait répondre à nos attentes en tant que parents Noirs et encore moins aux besoins de nos jeunes. Au contraire, nous sommes obligés de constater les effets destructifs de l'éducation euro-centrique sur notre jeunesse. Pour illustrer nos propos rappelons les faits suivants:


  1. la confusion et le développement accru d'un sentiment de frustration chez nos jeunes, sentiment qui est né de la contestation et de la révolte contre un système à la fois injuste et irrespectueux à notre égard;

  2. un taux de réussite scolaire assez limité;

  3. la surreprésentation des jeunes Noirs dans les classes spéciales;

  4. l'absentéisme scolaire;

  5. le taux élevé de décrochage scolaire;

  6. la délinquance juvénile;

  7. le non respect de l'autorité parentale, minée par des représentants du système qui s'immiscent dans nos familles;

  8. le non respect de l'autorité légitime et de l'ordre établi;

  9. la criminalisation systématique de nos jeunes par le système;

  10. le phénomène des gangs de rue;

  11. la surreprésentation de nos jeunes dans le milieu carcéral;

  12. L’association de nos problèmes identitaires à l’homosexualité.

  13. etc…


Bref, la vie et l'avenir de nos jeunes sont en danger. Donc, sans être alarmiste, c'est l'existence même de notre communauté, de notre peuple qui est menacée. Soyons honnêtes avec nous-mêmes; pouvons-nous vraiment espérer que nos jeunes d'aujourd'hui deviennent des hommes Noirs et des femmes Noires dignes, fiers, honnêtes, efficaces et utiles à eux-mêmes, à leur famille, à notre communauté, à notre peuple et à l'humanité tout en perpétuant nos vertus, nos valeurs, nos principes, nos traditions, nos coutumes, notre langue, notre culture et notre spiritualité; alors que nous confions naïvement leur éducation aux descendants des maîtres d'esclaves, qui, tout en bénéficiant et en gardant jalousement les privilèges et les richesses hérités de leurs pères et leurs mères, les auteurs de notre Holocauste, nous exhortent à oublier le passé et notre histoire?


De plus, est-il logique que nous croyons que ces gens-là sont aptes à assumer l'encadrement, la préservation, la protection de nos jeunes tout en leur prodiguant l'appui psychologique nécessaire à leur développement intégral en tant que les descendants des pères et des mères de l'humanité et de la civilisation; quand nous savons qu'ils sont, consciemment ou inconsciemment, les cellules reproductrices de l'idéologie de la suprématie blanciste?



PISTE DE SOLUTION

Suite à ce qui précède, nous ne pouvons que constater qu'il y a urgence d'agir promptement. Toutefois, nous ne pouvons nous permettre d'échouer dans la démarche que nous proposons ci-dessous.


Car non seulement il s'agit ici d'une première expérience communautaire de ce genre, il est à souligner aussi que notre communauté attend beaucoup de nous. Nous ne pouvons décevoir nos frères et sœurs. De ce fait, nous devons répondre à cette lourde responsabilité qui nous incombe avec discernement et avec sagesse afin d'assurer l'efficacité et le succès de cette aventure historique, ubuntu et munale.

Soulignons que nous n'avons nullement la prétention de suggérer que notre démarche consiste en soi la seule et l'unique solution viable aux dangers qui menacent notre jeunesse. Néanmoins, nous pensons qu'elle a la possibilité d'établir les fondements d'une nouvelle dynamique qui devrait donner lieu à une nouvelle réalité, à une autre façon de procéder au sein de notre communauté.



La démarche que nous proposons est simple dans sa formulation, mais un peu complexe dans sa mise en application: nous devons prendre notre destinée en main et assumer notre responsabilité envers les jeunes de notre communauté. En fait, la mise en en application d'une telle démarche doit s'effectuer à deux niveaux complémentaires: individuel et collectif.

Si vous avez le désir d'en savoir plus sur la façon de contribuer et de porter votre soutient par la participation active à cette noble cause, nous vous invitons à prendre contact avec nous et de spécifier votre intention par écrit en suivant ce lien.



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Ce texte est écrit en honneur de feu frère Emmanu-El Djehuti Thot et son épouse Magalie X.

Pour bien comprendre les paramètres de l'histoire lié au concept de l'abolition de l'esclavagisassions, il faut y aller pas à pas avec la logique. Remarquez bien que je n'ai pas dit abolition de l'esclavage, mais bien de l'esclavagisassions.



En premier lieu, nous allons définir le mot abolition un survol des mots esclave, esclavagisé et Esclavagisation selon le Prince Weber Tiecoura Dessalines dont les propos sont appuyés par Sébastien Lefevre dans UN DICTIONNAIR DÉCOLONIAL, Le Prince Weber nous démontre sur son blogue que le mot esclave est une invention des blancistes euro-chrétiens, ensuite nous verrons qui a réellement mit un terme et forcé la chute de l'esclavagisaton et troisièmement pourquoi l'Empire d'Ayiti était et reste la solution aux défis que (l'humanité) les êtres parlants, ainsi que tous les autres êtres vivants font face aujourd'hui.


L'Empereur Jean Jacques Dessalines a su nous démontrer que le bonheur dans la liberté, la souveraineté et l'indépendance n'est pas l'affaires d'un individus ou d'un petit groupe qui domine les autres, mais de toute individu conscient de son caractère divin.



Définition de abolition

J'ai pour habitude de toujours définir les mots clés de mes propos, par soucis de clarté et d'intégrité intellectuel, pour une meilleur compréhension et pour le respect de l'intelligence des lecteurs, car si notre communication n'est pas établie dans une quête de vérité, à quoi bon échanger.


Lorsque je cherche des définitions juridiques, j'aime beaucoup me référer au site internet la toupie.org et c'est de là que j'ai copié la définition juridique du mot.


L'abolition est l'action d'abolir, d'annuler, de supprimer, de mettre fin à l'existence de quelque chose, ainsi que le résultat de cette action.


Synonymes : abrogation, annulation, suppression.


En droit, l'abolition est l'annulation d'une loi, d'un acte ou d'une décision officielle émanant d'une autorité légale. Exemples :

  • l'abolition de l'esclavage,

  • l'abolition des privilèges,

  • l'abolition de la peine de mort.

Par extension, l'abolition est :

  • la suppression de quelque chose en vertu d'un pouvoir de fait, détenu par une collectivité ou un particulier,

  • l'arrêt, la cessation de quelque chose. Exemple : abolition de la volonté.


Esclaves / Esclavagisé / Esclavagisation


Dans toutes recherches scientifiques, il est de base, de vérifier les travaux qui ont déjà été publiés sur le sujet, par des gens sérieux, c'est basé sur ce principe que je vais coller ici des extraits du blogues et des écrits de Sa Majesté Le Prince Weber Tiecoura Dessalines qui a fait un travail gigantesque sur le sujet, voici ce qu'il en dit:


''La question de l’abolition de l’esclavage par le blancisme mérite réflexion. Les décrets, les lois ou les proclamations se rapportant à l’abolition de “l’esclavage” par le blancisme relèvent tous d’une tactique de guerre. Le blancisme ne peut pas, et ne pourra jamais, abolir l’esclavagisation, et même y songer un seul instant, parce qu’il est en essence pure volonté de soumettre les autres à soi et que cette volonté ne peut se concrétiser que par l’esclavagisation et qu’il (le blancisme) est une pensée-être unidirectionnelle. Sans l’idée d’esclave, une pure chimère à cause de l’impossibilité de la chose et son inadéquation irrelative et irréversible à l’être extramemtal, dont l’esclavagisation est l’unique mode praxique, il n’y a pas de blancisme.


Pour comprendre le subterfuge de l’abolition, qui semble porter fruit chez plusieurs, nous devons revenir sur l’idéologie même de l’esclave. Telle est ma démarche ici...


Il découle de tout ce qui précède que d’un côté il y a l’homme, de l’autre il y a l’esclave. L’homme, par son statut ou qualité d’être, est le maître, et son contraire, le sous-homme, est par conséquent l’esclave. L’homme est naturellement homme et l’esclave est aussi naturellement esclave. En d’autres mots les deux êtres en présence n’ont pas décidé de leur nature, ils ont été ainsi créés. La relation entre maître et esclave se définit comme suit : le premier par sa nature d’homme est le dominant, le dernier est le dominé. C’est une relation de supérieur/inférieur. L’homme dicte à l’esclave sa conduite, l’esclave bénéficie de la supériorité des facultés de l’homme et s’occupe des travaux nécessitant de la force physique. Le titre de l’esclave est l’instrument de production. En voilà assez ! Ces idées suffisent à mettre en lumière le fait idéologique de l’esclave…


Comment peut-on parler de l’abolition de « l’esclavage », là où gouverne le blancisme ? Comprenez bien, il n’est pas question de chaînes physiques ou mentales dont plusieurs parlent – ce qui est une mauvaise compréhension de la chose - mais d’administration effective par le blancisme. Le blancisme est partout, dans l’éducation, dans la religion, dans la police, dans l’armée, dans la politique, dans l’économie, dans le système de pénitencier (les prisons), dans le système judiciaire, dans la récréation, dans l’appréciation de soi, etc., tous les moyens, comme au tout début, de réduire l’autre à soi, l’imbriquer. Il discrimine tout ce qui ne trouve pas en lui son origine, cela pour denqnqtiser l’autre, le vider de sa substance propre, afin de mieux l’absorber. Où est la fin de l’esclavagisation ? Celle et ceux qui sont d’avis contraire et qui trouvent leur bien-être sous le pouvoir du blancisme forment artificiellement une race à part, une race incontestablement inférieure, des esclavagisé(e)s ou sous-blancismisé(e)s.

Je termine avec ces paroles toujours actuelles de Louis Delgrès, l’un des artisans et artisanes de la Gwqmunité de Karukera/Kaloukaera/ (Guadeloupe) : “Il existe des hommes malheureusement trop puissants par leur éloignement de l'autorité dont ils émanent, qui ne veulent voir d'hommes noirs, ou tirant leur origine de cette couleur, que dans les fers de l'Esclavage”...


Il s’ensuit que Louis Delgrès, comme Jean-Jacques Dessalines - “ s’ils trouvent un asile parmi nous, dit Celui-ci, ils seront encore les machinateurs de nos troubles et de nos divisions” - a très bien compris le blancisme ou sa spécificité, l’esclavagisation perpétuelle, soit démanteler pour s’imposer, donc dominer. Le blancisme est compris, ce, avec raison, par nos Ancêtres comme une volonté, une seule, de domination et tout ce qui s’ensuit.

Le blancisme n’a jamais aboli l’esclavage, il n’a nullement l’intention de le faire et ne peut pas le vouloir non plus''.


Cet extrait du blog Forum-Impératrice Claire Heureuse Dessalines, la Ville de Dessalines, Capitale Impériale, tenu par Le Prince Weber Tiecoura Dessalines, n'est qu'un avant gout de l'importance du sujet, j'ai donc pris le soin de mettre le lien de la page de son blog qui développe d'avantage le sujet pour meilleur compréhension.


« Le peuple habitant l'île ci-devant appelée Saint-Domingue, convient ici de se former en État libre, souverain et indépendant de toute autre puissance de l'univers, sous le nom d'Empire d'Haïti. Article premier

L'esclavage est à jamais aboli.» Article deuxième - Empereur Jean Jacques Dessalines_ https://mjp.univ-perp.fr/constit/ht1805.htm



Bien que mes études personnelles soient principalement inspirées des écrits du prince Weber, parce que j'aspire à développer une expertise des livres de l'auteur j'ai cependant trouver nécessaire de vous présenter un autre auteur, afin de faire la preuve que le concept d'esclave, esclavagisé et esclavagisation est un sujet sérieux et étudié par différents érudits.

Le prochain extrait est tiré de l'ouvrage intitulé UN DICTIONNAIRE DÉCOLONIAL de Sébastien Lefevre.


«La langue n’est pas un espace neutre, elle est le résultat d’une construction sociohistorique et culturelle. Il est coutume de dire qu’une langue est une culture. La manière d’exprimer les couleurs, les joies et les peines, de nommer des plats, des rituels etc. fait référence à des pratiques culturelles précises. La langue est aussi le fruit de dominations. L’espace où sont inscrites les dominations. Cette dernière idée n’est pas nouvelle. Marina Yagüello, par exemple, dans son livre Les mots et les femmes, soulignait déjà la domination du genre masculin. Par ailleurs, toutes les langues ne fonctionnent pas de la même manière et ne permettent pas de neutraliser ces processus de dominations.

Nous observons cette différence entre l’espagnol et le français en ce qui concerne les notions d’esclave et d’esclavagisé-e. En espagnol, nous avons la possibilité de former à partir du suffixe verbal -ado, le terme esclavizado, c’est-à-dire qui a été mis en esclavage (processus terminé). La nuance entre esclavo (esclave) et esclavizado n’est pas qu’une simple nuance, elle implique toute une réflexion épistémologique concernant la vision que l’historiographie et les sciences humaines occidentales ont développé quant aux populations africaines mises en esclavage et déportées aux « Amériques ».

Quand on dit de quelqu’un qu’il est esclave, c’est une définition totale de l’être ou plutôt une réduction de l’être à la qualité d’esclave. C’est comme si cette personne avait toujours été esclave. Il y a donc une négation de ce que la personne était avant cette condition d’esclave. Autrement dit, le fait de dire de cette personne qu’elle est esclave efface ce que la personne était avant.

Plus précisément, ce qui pose problème avec le terme esclave est qu’il ne permet pas de différencier un avant d’un après de la condition d’esclave. Quand on dit « les esclaves africain-e-s », cela occulte le processus de mise en esclavage, processus d’ailleurs qui sous-entend beaucoup d’étapes bien plus complexes, notamment la résistance des populations à leur mise en esclavage, leur capture, leur transport, leur rébellion, leur collaboration etc.

En français, nous devons passer par un néologisme verbal pour rendre compte du processus : esclavagisé.

De la même façon la réflexion doit être appliquée au terme d’esclavage (esclavitud en espagnol) qui escamote ce processus actif et nous devrions préférer esclavagisation (esclavización en espagnol).

Cette réflexion tente de montrer la réduction qui est faite des sujets africain-e-s déporté-e-s. Réduction qui rejoint l’enjeu des nominations comme Noir-e, Indien-ne, Blanc, Blanche, etc. et qui révèle la colonialité occidentale quant à l’assignation identitaire.

Cependant, dans tout processus d’assignation, il y a des refus de subir cette dernière. C’est le cas d’une grande majorité d’auteurs et d’autrices et de mouvements afroabyayaliens qui ont décidé de se réapproprier leurs propres histoires, leurs propres noms, leurs propres visions culturelles. La décolonialité passe par l’enjeu des mots. Toutefois, cet enjeu ne semble pas faire partie des préoccupations de la majeure partie des discours décoloniaux où l’on constate toujours l’emploi de esclavo et esclavitud.» _Sébastien Lefevre_




Chute de l'esclavagisation

Après de nombreuses années de recherches sur l'histoire d'Ayiti, j'ai pu noter plusieurs incohérences venant des manuels d'histoires ce qui a suscité une grande confusion dans l'esprit de plusieurs auteurs et intellectuels de la nation ayisyèn et bien sur ce n'est pas pour déplaire nos ennemies naturels, puisque bon nombre de contradictions de désinformations sont maintenues par les puissances occidentaux et l'église catholique qui jusqu'à nos jours sont les bénéficiaires du système d'esclavagisation.


Une des incohérence dans l'histoire colportée par bon nombres d'intellectuels ayisyen, est que Toussaint Louverture est le précurseur ou même l'un des pères fondateur de l'Empire d'Ayiti. Ici il n'est pas question d'élaborer sur cet erreur ou tentative de falsifier cette histoire si glorieuse qu'est la notre, mais pour vous qui êtes animés de bonnes intentions et qui avez encore la capacité de réfléchir par vous même, en vous même et pour vous même, je vous inviterai à faire simplement la comparaison de la constitution dite de Toussaint rédigé en 1801 et celle promulguée le 20 mai 1805 par l'Empereur Jak 1er, ''l'éternel Jean Jacques Dessalines'' , comme aime l'appelé le prince Weber Tiécoura.


Sans même allez trop loin dans la lecture des deux constitutions, vous remarquerez dès le préambule et des articles préliminaires: un langage, une présentation et une dénomination aussi opposé l'un à l'autre que le gout fiel l'est au miel.


Jean Jacques Dessalines Le Grand Libérateur.



« …La mission de l’Enfant du 20 septembre 1758 est, de toute évidence, double mais se rapporte au même objet, qui est l’unité indivise de l’être mural, l’être que nous sommes indistinctement.

L’aspect premier de la mission doit se faire, et se fait effectivement, dans la continuité de l’émergence des Nations de Marronnes et Marrons, particulièrement du makqdalisme dont l’Enfant des Mornes Cahots, Jean-Jacques Dessalines, est l’Unique Figure. L’Enfant devient grand et milite dans la Nation de Bukmqn tout en menant, à l’ombre d’Agbawaya Toya, de petites contre-attaques à droite et à gauche…. » Le Prince Weber Tiecoura Dessalines


… Jean-Jacques Dessalines dira: “Je pensais que Toussaint était pour la liberté”, le terme exact est gwqmunalité. L’expérience prouve le contraire pourtant l’Enfant des Mornes Cahos, Son lieu de naissance, ne s’en va pas. Il restera là jusqu’à la fin sans rien laisser suinter et sans faire le gros dos, au contraire. Pour celles et ceux qui ne le savent pas, le signe personnel de Jean-Jacques est la pintade, animal méfiant et rusé. Dessalines méprise Toussaint à tel point qu’Il refusera d’accorder la main de Sa fille aînée, Princesse Célimène, au colonel Bernard Chancy parce que celui-ci est le neveu de Toussaint : “Jamais, dira l’Empereur, je ne mélangerai mon sang avec celui de ce scélérat”, soit Toussaint L’Ouverture. Heureusement Sa Majesté Éternel Empereur Jean-Jacques Dessalines s’y était opposé car Je ne serais pas là en train d’écrire ces lignes puisque Je descends de la Princesse Eugenia Dessalines, fille que la Princesse Célimène a eue d’une union ultérieure. La Princesse Eugenia Dessalines est la mère du grand-père de la Princesse Atala Dessalines D’Orléans (ma mère), soit Prince Petit-Phare Dessalines D’Orléans, qui est le père de ma grand-mère, Princesse Phénomène Dessalines D’Orléans. Une haine divinement avantageuse pour la planète terre parce que Je Suis, Le Prince de l’Empire Dessalinien Déployé, Moi, Celui qui a accédé à la plus haute compréhension de la Dessalinienne pour la Marche Victorieuse Ininterrompue de l’être munal...


...Suite à cela, le 1er janvier 1804 se sont réunis aux Gonaïves (Boirond-Tonnerre-ville) le Peuple-Gwqmun, à Jamais Victorieux (une partie certes), ainsi que l’Armée Gwqmunale pour la présentation de la Première Administration Nationale. Ça va de soi. Fait marquant. Durant cette rencontre Jean-Jacques Dessalines, Fondateur du Peuple et de la Nation, y va d’une énonciation spectaculaire - ce que madame Bayyinnah Bello, célèbre historienne et professeure, appelle la Déclaration Universelle de l’Indépendance, ce qui peut être compris, selon moi, comme le second aspect de la Nation qui est Née le 29 novembre 1803 à Dessalines-Ville, lequel aspect n’est pas un ajout mais déjà compris logiquement dans le caractère extensionnel d’Ayiti par son enracinement dans l’être munal -, savoir que la Nation qui vient de naître n’est pas uniquement Celle des gens qui sont présentement sur le territoire mais Celle de tous les razzié(e)s - Négresses et Nègres - implanté(e)s sur ce continent (Masuana appelé Amérique) ainsi que de tous les gens, quelle que soit la couleur de leur peau, quelle que soit leur nationalité, qui fuient la tyrannie. Quiconque, poursuit Jean-Jacques Dessalines, foule le sol d’Ayiti est irrévocablement gwqmun (libre). Tout cela, selon le Missionnaire Divin, est en pleine conformité aux principes régissant le Grand Tout, soit le La, que certains appellent l’univers.


L’Éternel Empereur Jacques 1er est indéniablement Brillant. Le grand savoir et la toute-puissance de Ses facultés ne sont pas à démontrer.

Jean-Jacques Dessalines ou la Dessalinienne est le Deus Ex Machina mais en Vrai. _Le Prince Weber Tieocoura Dessalines.



Où apprendre plus sur l'abolition de l'esclavage?

Le fait que vous soyez arrivé jusqu'ici dans votre lecture, suite à tout ce qui a été mentionné ci-haut, il est out à fait normalement pour moi de vous connecter au canal d'où jaillit ces connaissance, tout comme moi, vous pouvez vous joindre à la cellule de l'empire de la liberté, et avoir accès au cours de l'AKADEMIE X . Comme des centaines d'Ayisyen qui cherchent à connaitre leur histoire et surtout qui cherchent à forger leur identité autour d'une histoire glorieuse dont nous pouvons tous être fier, joignez-vous à nous.



Empire Napoléonien vs l’Empire Dessalinien

Pour nous mettre dans le contexte et saisir le sujet d’aujourd’hui nous devons revenir sur ce qu’est l’empire, qu’est ce que le denanantizasyon et ce qu’est l’être. Commençons par le mot Empire, celui de Napoléon Bonaparte promulgué dans la constitution 6, le 18 mai 1804 et nous poursuivrons avec l’Empire de Jean Jacques Dessalines, le père le la nation Haytienne dont la dénomination est l'Empire D’Hayti qui figure dans la constitution promulgué le 20 mai 1805.




Dans les émissions du passé nous avions établi avec vous que l’empire est la plus haute forme de gouvernance et partant du fait que pour reproduire quelque chose, notre cerveau devait avoir été exposé à cette chose similaire, les questions, tout de suite à se poser est quelle est la plus haute forme de gouvernance? Et, qu’elle est cette chose auquel il a fallu être exposé pour en arriver à la signification derrière le mot empire. D'où vient cette idée d’empire? Pour l’instant, je vais laisser mijoter ces questions dans votre tête.

Regardons ce mot selon le paradigme du blanciste, celui auquel Napoléon Bonaparte adhère, disons cela autrement, regardons la signification du mot empire selon celui ou celle adhérant à l’idéologie blanciste qui sous entends que pour s’élever ou se constituer en un être total, qu’il faut subjuguer l’autre, réduire l’autre à la soumission pour son intérêt propre, car il estime que la fin justifie les moyens: voulant dire qu’il doit assouvir ses désirs même si cela implique déposséder d’eux-mêmes ce qu’il considère ou catégorise comme des sous- hommes pour les utiliser à ses propres fins ou de vous tuer si vous ne faite plus l’affaire.

Pour parvenir à cette subjugation, il faut établir une relation de dominant/dominé. Il lui faut absolument, le mensonge, la division, la séparation les uns des autres; il lui faut absolument la violence, la contrainte, la force pour y parvenir, car naturellement l’être est collectif, car ce n’est que là que peut commencer l’histoire, mais il est aussi indépendant: dans le sens qu’il prend ses propres décision et porte une action décisive face à la pensée qui surgit face à un désir, un besoin ou un obstacle , l’un ne va pas s’en l’autre ou du moins si vous voulez survivre…, mais croire qu’il peut y avoir domination dans la dépendance et l'indépendance mutuelle est en soi une contradiction,

Pourquoi la domination est-elle en contradiction avec ces deux principes universels qui nous donnent l’interdépendance?



La collectivité:

si je sais que j’ai


besoin de l’arbre pour respirer de l’air pur dont mon mécanisme physique a besoin pour bien fonctionner et que je coupe cet arbre, la domination exercée sur l’arbre est au profit de qui? Dans ce mode d’exercice vous êtes voué à votre propre extinction. ex 2: les être sont naturellement collectifs, dans le sens que nous avons besoin d’une famille à notre naissance pour nous accueillir c’est de la famille que nous viennent les éléments et nos premières informations du monde sensible pour notre survie.


L’indépendance:

La capacité décisionnelle est naturellement impliquée dans notre être: ex je n’ai qu'à penser que je veux lever mon bras pour que cela se fasse. Je n’ai qu'à vouloir et penser lâcher le crayon au sol pour que cela se fasse. Je n'ai pas besoin de quelqu’un pour penser pour moi j’ai la capacité de le faire moi-même ou pour faire les choses à ma place, bien sûr de temp à autres, j’aurai besoin d’une personne pour me gratter le dos ou pour recevoir de l’affection, mais la pensé et la décision d’aller à la recherche de la personne qui voudra bien m’aider à assouvir ce désir ou ce besoin vient quand même de moi en premier lieu.


Mécanisme de défense découlant du principe protecteur:

Naturellement si un chien se met à courir derrière nous pour nous dévorer, nous prenons la fuite, si durant la nuit, pendant que je dors, qu’un bandit psychopathe m'étouffe, naturellement je vais me débattre pour rester en vie c’est l'instinct de survie qui s’active. c’est inné!

À partir de là je pense qu’il est clair que peu importe la forme que prendrait la domination dans un monde naturellement collectif est une contradiction en soi et dans cette collectivité (le monde) ne peut qu’amener des conflits, de la violence, de la division et de la destruction.


A ce stade je crois que vous saisissez que cette domination est une anomalie, une maladie, un parasite, un mauvais calcul, dont nous devons trouver le remède et la solution, dans un Univers où tout est logique, certes, parfois difficile à déchiffrer mais l'existence reste logique.

La plus haute forme de gouvernance dont nous avons fait mention ci-haut venant de cette idéologie ne peut qu’être l'oppression d’un groupe exercé sur les résistants à cette idéologie, dans cette construction blansicmique tout doit passer par l’homme pour avoir droit d’être, c’est à dire exister. Dites de cette façon vous me direz: «bien Shenizah! Es tu en train de nous dire que l’homme se prend pour Dieu!» alors je saurai que vous êtes en voie de découvrir quelque chose et je vous poserai cette question à mon tour, de quel Dieu parle t-on?

Cette idéologie empire blanciste est vide en elle même, car elle tend vers sa propre destruction et est porter par la singularité et non collectivisme elle est à l’opposé de ce qu’exige notre constitution interne (notre corps énergétique qui lui est que fonctionnel que lorsque ses organes sont en interdépendance mais cela ne dépendra que de nous d’en être conscient.



PHILOSOPHIE DESSALINIENNE

l'Empire, la plus haute forme d’autorité, lorsque traduit dans idéologie Dessalinienne auxquels les Haytiens adhèrent, dont Jean Jacques Dessalines lui-même prêche les vertus. Cet Empire demande très peux d’explication lorsque l’on saisit notre fonctionnement naturel et que l’on accepte que ce qui est, est et qu’il y a effectivement un créateur, réalisant que l’on ne s’est pas créer nous-même, reconnaissant sa présence par sa production, voici la plus haute forme de gouvernance, la vraie. Nous n’avions pas à nous casser la tête pour en fabriquer une, les Ayisyens, (ses africains descendant Kemites) on conclut qu’ils n'avaient pas à refaire ce qui est déjà fait, mais plutôt suivre l’ordre des choses pour vivre en harmonie avec cette univers logique ou tout ce qui est, est, où tout est en lien, en concordance et imbriqué l’un dans l’autre comme un gros puzzle universel pour le bon fonctionnement de ce même monde dans lequel nous avons vue le jour.

Ce qui me reste à vous montrer dans cet exposé sur l’empire, la plus haute forme de gouvernance qui soit, c’est de vous démontrer que J.J Dessalines avait bien saisi ces principes de l'existence et l’a mise en application dans notre constitution pour qu’elle se manifeste dans le monde sensible.


Jacques Premier maintient la ligne divine, en voici les preuves:

Il est évident maintenant lorsque nous parlons de la plus haute forme de gouvernance qui soit nous parlons du Grand Créateur qui est à l’origine de tout ce qui est est qui pour le bien être collectif nous à doter de logique. Une partie de la preuve commence le jour G, le jour «Granmun» , Ce crie de ralliement, Les paroles de Boukman, mais surtout la signification derrière prononcé le 14 Août 1971 reste accroché dans le temps et dans le cœur de J.J Dessalines. Celui qui dit que le grand mèt est à l’origine de toute chose , celui qui créa le soleil, qui nous illumine d’en haut, ki fè soulève la mer, qui fait gronder les orages … pour définir le dieux du désordre il dit ceci: le dieux de l’homme est celui du malheur, sa vocation est de faire pleurer les gens , tel n’est pas le cas de notre Dieu, il y a deux voies clairement définie et en opposition celle du Bien et celle du Mal. Le dieu des blancs entité mental de malheur ne le recevez pas, c’est notre Dieu lui-même qui à ouvert la voie, il y a le mécanisme de défense qui est inscrit dans l’ordre des choses

Plus tard, soit le 28 avril 1804 dira Dessalines, le général victorieux au sujet de la logique de la contre-attaque. « Quel est ce vil Haytien, cette ville haytienne si peu digne de sa régénération, qui croit point avoir rempli les décret divin, décret éternel, en exterminant ces tigres altérés de sang? S’ il en et un ou une, qu’il ou elle s’éloigne; la nature (de l’ordre divine, qui unit en son sein tout ses créatures) indigné le ou la repousse de notre sein, qu’il ou elle aille cacher sa honte loin de ces lieux; l’air qu’on y respire n'est point fait pour ces organes grossiers». C’est l’air pur de la Granmunité!

Dans la constitution préambule, dans l’article premier et l’article 2

voici ce qui est dit: «Tant en notre nom particulier, qu'en celui du peuple d'Haïti qui nous a légalement constitués les organes fidèles

et les interprètes de sa volonté,


En présence de l'Être Suprême, devant qui les mortels sont égaux, et qui n'a répandu tant d'espèces de créatures

différentes sur la surface du globe, qu'aux fins de manifester sa gloire et sa puissance, par la diversité de ses œuvres en face de la nature entière dont nous avons été si injustement et depuis si longtemps considérés comme les enfants réprouvés,

Déclarons que la teneur de la présente Constitution est l'expression libre, spontanée et invariable de nos cœurs et de la volonté générale de nos constituants, La soumettons à la sanction de Sa Majesté l'empereur Jacques Dessalines, notre libérateur, pour recevoir sa

prompte et entière exécution.

Déclaration préliminaire.

Article premier

Le peuple habitant l'île ci-devant appelée Saint-Domingue, convient ici de se former en État libre, souverain et indépendant de toute autre puissance de l'univers, sous le nom d'Empire d'Haïti.

Article 2.

L'esclavage est à jamais aboli.

Pour ne citer que ceux-là, il y a un tas de texte ou Jean Jacques Dessalines prend la parole qui vous démontre qu’il ne déroge pas de l’unité collective ni de son objectif. mais je vais m’arrêter là pour vous donner le goût de partir à la découverte de ce merveilleux cadeaux qui vous attend.




La denanantizasyon

Synthèse de la denanantizasyon

c’est le déracinement, le dépouillement de la substance des gens ex: te dépouiller de ta culture et ton langage, de tes moyens de subsistance et une forme de denanantizasyon

comment se fait la denanantizasyon

la denanantizasyon se fait tout premièrement par la domination qui engendre forcément un comportement destructifs car il faut contraindre l’autre pour le forcé à obéir afin assouvir ses désirs qui ne faut que se multiplier, destruction des choses qui te permet de survivre, tel que la destruction des terres, la faunes, la flore, destruction de l’être par les maladie, la mort biologique par mer, air, génocide, assimilation, l’esclavagisations,


L’empire la solution à la denanantizasyon, pourquoi?

Elle est la solution tout simplement parce qu’elle n e dérange aucunement l’ordre des choses préétablies par Granmèt la et comme nous sommes partie intégrante de cet ordre il serait complétement illogique de faire autrement.


L’Être

Selon le dictionnaire de L'académie Française il est dit que:

1.Le fait d’exister ; l’acte d’exister. L’être et le non-être. De qui avons-nous reçu l’être ? Le Créateur nous a donné l’être.

2. Qualité déterminante de ce qui est ; essence. L’être et le paraître. L’être de l’homme est fait de chair et d’esprit. Selon certains philosophes, la raison est l’être de l’homme. On appelle ontologie la science de l’être.


3. Ce qui est au sens absolu. L’être en soi, l’être qui existe en dehors et indépendamment de toute connaissance.


MARQUE DE DOMAINE :

RELIGION. Avec une majuscule et suivi d’un adjectif. Dieu est l’Être parfait, infini, absolu. L’Être éternel. L’Être suprême. Spécialement. Le culte de l’Être suprême, le culte purement philosophique et moral que certains philosophes et penseurs du XVIIIe siècle tentèrent d’instituer en remplacement du culte chrétien.

La définition de l’être selon l’Empire D'Hayti ou J.J. Dessalines / Agbawaya Toya

  1. L’Être est la mise ensemble des éléments ou choses déterminées c'est -à -dire qui a sa forme propre.

  2. L’Être est la sommes totale des bwa (intelligence(faculté) ou éléments, ces facultés sont pareilles mais tout en étant différents, par leur composition, que les nôtres. être est la sommes total des bwa

  3. La Base De L’Être est celle de l’empire de Dessalines et vice versa, il est la continuité et son parachèvement au dehors. la proposition de sa Majesté Jacques premier comprend cette idée: celles et ceux dont le père est au conscient de cette relation d’interdépendance et d’indépendance, de quoi vivront-ils, ils y a deux tableau de l'être ici


Le Premier est l’Art de vivre en concordance dans notre interaction, en tant que Ubuntu non en état de nature, ni même en état de nature systématisé vision blanciste du monde systématisé


Le Deuxième est la fonction de pourvoyeur de l’empire. Il est clairement exprimé ici que la finalité de l’empire soit sa fonction est la mise en place d’un ordre institutionnels afin que toutes et tous, ses êtres Munals puissent se pourvoir de tout pour répondre à la base de leur être.



Conclusion:

Eh bien voilà, je crois vous avoir dit ce qui était nécessaire de savoir pour piquer votre curiosité sur l’empire d’Hayti, cet empire qui pris naissance le 20 Mai 1805 et que tout ce que je viens de vous dire résonnent en vous, mais il est tout de même recommandé de faire vos propres recherches dans ce sens, de faire l’analyse et surtout de rester dans la logique et de faire une bonne analyse pour que vous en ayez la ferme conviction par vous même, en vous même. L’atteinte de l’harmonie au sein de l'ensemble munal ne se fait pas en un tour de main. La démarche commence par la volonté ferme, inébranlable et irrévocable d’y arriver. Dans la pratique on apprend, se reprend, insiste, persiste, persévère, jusqu'à ce que la maîtrise et l’habitude s'installent stade qu’on aboutisse au stade ultime, le parachèvement de soi, qui est l’art de vivre et exister en accord avec notre constitution interne à l’extérieur, et dans le monde sensible À ce point le bonanye et le praxis nous n'avons plus besoin de fournir l’effort du début ni celui du milieu . Le calcul se fait tout bonnement en accord avec soi-même, le soi munal. C’est la maîtrise de notre être, de nos actes, la volonté de Notre Dieu, c'est-à-dire telle qu’elle est bonanye. La Volonté Divine est d’essence Divine, autrement dit, Notre Dieux y transpire. nous sommes alors à ce niveau, tout Divin, au mieux, la transpiration Divine , Divine sueur. C’est le stade de la Negro divinité







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